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Obsèques de Serge Martin, porte-drapeau de la SMLH 46

Publié le 14 août 2024
Diverses cérémonies avec la présence de Serge MARTIN
Crédit: Photo familiale
Diverses cérémonies avec la présence de Serge MARTIN

Le mercredi 14 août 2024, à 14 heures, étaient célébrées à Caillac (46) les obsèques de Serge Martin, chevalier de la légion d’honneur et de l’ordre national du mérite, et porte drapeau de la SMLH 46. Serge Martin s’est éteint le 10 août 2024 à l’âge de 70 ans des suites d’une longue maladie.

Peu de temps avant, il était reconduit pourtant à son poste de président du comité directeur du district du football lotois, fonction qu’il occupait depuis 2016. Depuis 1990, il s’investissait au profit des jeunes dans le football local en devenant successivement accompagnateur, puis entraîneur avant de prendre des responsabilités éminentes au sein du comité directeur. En tant qu’entraîneur, il amènera de nombreux jeunes au niveau départemental et régional. Outre le district lotois, il a également été délégué de la ligue de football d’Occitanie, puis délégué de la Fédération Française de Football jusqu’en 2016. De l’avis de tous, c’était un homme d’engagement et il donnait de son temps sans compter.

A l’aune de son implication dans le football, il était aussi une personnalité estimée de la SMLH 46, de l’association nationale des membres de l’Ordre National du Mérite du Lot, du comité départemental olympique et sportif du Lot ainsi que du comité départemental des médaillés de la jeunesse et des sports et de l’engagement associatif du Lot.

Il a assumé la fonction de porte-drapeau de la SMLH 46 pendant 17 années avec beaucoup de dignité et de dévouement comme l’indique le général Pierre Pélaprat dans son discours d’hommage. Serge Martin était aussi un homme de valeurs qu’il a défendues tout au long de sa vie professionnelle, sportive et associative. A la fois sérieux et léger, il faisait preuve de force et de conviction dans tout ce qu’il entreprenait et dès lors qu’il fallait prendre une décision. Il ne se départissait jamais pour autant de son humour et de son sens du bien commun.

Le général Pierre Pélaprat concluait son éloge funèbre en lui disant adieu et en présentant au nom des ordres nationaux, ses sincères condoléances à la famille.